Présentation des dates de projections du film « Pas en mon nom », dont le MRAP est partenaire.
-* Résumé du film : Très souvent, en France, lorsque les conflits reprennent au Proche-Orient, les personnes d’origine juive sont appelées à soutenir inconditionnellement l’Etat d’Israël. Pourtant, (…)
Sur l’agenda
février 2020 - mars 2020
- décembre 2019
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Film « Pas en notre nom »
- février
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Place de la Concorde Paris
Pour la libération de Mumia Abu-Jamal
MERCREDI 5 FEVRIER (18 heures) :
pour la libération de Mumia Abu-Jamal
rassemblement place de la Concorde à Paris
>>> Comme chaque premier mercredi du mois, le rassemblement aura lieu à proximité de l’ambassade des Etats-Unis (angle rue de Rivoli / jardin des Tuileries). Rappelons que depuis plus d’un an Mumia a obtenu un droit d’appel de sa condamnation et que sa défense a déposé à cet effet un mémoire en septembre dernier. De son côté, la justice de Pennsylvanie n’a toujours pas décidé devant quelle Cour et quand s’ouvrira le procès. Aurait-elle peur de la manifesation de la vérité en reconnaissant ses fautes et ses erreurs face aux preuves de l’innocence de Mumia qu’elle n’a jamais voulu entendre, les écartant ou les détruisant au besoin. L’enjeu de l’année 2020 est entre ses mains et celles de la mobilisation portant l’exigence de sa libération.
>>> LA PEINE DE MORT AUX ETATS-UNIS
En 2019, l’application de la peine de mort est resté près de son plus bas niveau avec un total de 22 exécutions, 37 nouvelles condamnations à mort et 2.656 personnes dans les couloirs de la mort dans tout le pays. Malgré les progrès constatés - abolition et moratoire dans plusieurs Etats, opinion publique majoritaire contre la peine de mort à condition d’être remplacée par la prison à vie - il reste encore beaucoup de travail à faire pour les abolitionnistes américains. D’autant que le gouvernement Trump agit en sens inverse avec l’objectif de mettre un terme au moratoire de fait sans exécution depuis 16 ans au plan fédéral. Pour le moment la Cour suprême des Etats-Unis vient de rejeter sa demande.
Lire l’intégralité du rapport du Death Penalty Information Center en cliquant sur ce lien :
http://www.worldcoalition.org/fr/DPIC-Report-on-the-2019-Death-Penalty-Usage-in-the-US.html
>>> PENNSYLVANIE : LA MORT PAR INCARCÉRATION jusqu’en fin de VIE
En Pennsylvanie, plus de 5.400 prisonniers sont condamnées à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Aux États-Unis, une personne sur dix purgeant sa condamnation à vie est incarcérée en Pennsylvanie. L’État de Pennsylvanie est classé au deuxième rang fédéral derrière la Floride. Dès leurs condamnations ces personnes ont la quasi-certitude de mourir en prison. Très peu de recours se traduisent en effet par l’admissibilité à la libération conditionnelle ou à des changements de commutation de la peine. Lisez le reportage du journal THE APPEAL (pièce jointe) qui est allé à la rencontre de ces prisonniers âgés et handicapés dans une prison d’Etat en Pennsylvanie.
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Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines
https://www.un.org/fr/observances/female-genital-mutilation-day
En 2012, l’Assemblée générale des Nations Unies a désigné le 6 février Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF) afin d’intensifier l’action mondiale visant à éliminer cette pratique.
Mettre fin aux MGF en une décennie exigera le soutien de tous. Avec une croissance démographique importante en particulier chez les jeunes, impliquer la jeunesse dans la lutte contre les MGF devient indispensable. C’est pourquoi cette journée internationale se concentrera sur la mobilisation des jeunes autour de l’élimination de ces pratiques néfastes, sous le thème : « Libérer le pouvoir de la jeunesse : une décennie d’accélération des efforts pour zéro mutilations génitales féminines ».
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Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines
https://www.un.org/fr/observances/female-genital-mutilation-day
En 2012, l’Assemblée générale des Nations Unies a désigné le 6 février Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF) afin d’intensifier l’action mondiale visant à éliminer cette pratique.
Mettre fin aux MGF en une décennie exigera le soutien de tous. Avec une croissance démographique importante en particulier chez les jeunes, impliquer la jeunesse dans la lutte contre les MGF devient indispensable. C’est pourquoi cette journée internationale se concentrera sur la mobilisation des jeunes autour de l’élimination de ces pratiques néfastes, sous le thème : « Libérer le pouvoir de la jeunesse : une décennie d’accélération des efforts pour zéro mutilations génitales féminines ».
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Islamophobie et racisme anti-musulman
1. Antiracisme universaliste
Le racisme est un et indivisible avec des formes multiples et différentes victimes : Roms, Arabes, Musulmans, Noirs, Asiatiques, Juifs… Le combat universaliste pour l’égalité réelle, la défense et la promotion des Droits humains passe par la lutte contre le (…) -
11 février 1990 : Libération de Nelson Mandela
Ce 11 févier 2020 marque les 30 ans de libération de Nelson Mandela après 27 ans de détention
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Place de la Concorde Paris
Pour la libération de Mumia Abu-Jamal
MERCREDI 5 FEVRIER (18 heures) :
pour la libération de Mumia Abu-Jamal
rassemblement place de la Concorde à Paris
>>> Comme chaque premier mercredi du mois, le rassemblement aura lieu à proximité de l’ambassade des Etats-Unis (angle rue de Rivoli / jardin des Tuileries). Rappelons que depuis plus d’un an Mumia a obtenu un droit d’appel de sa condamnation et que sa défense a déposé à cet effet un mémoire en septembre dernier. De son côté, la justice de Pennsylvanie n’a toujours pas décidé devant quelle Cour et quand s’ouvrira le procès. Aurait-elle peur de la manifesation de la vérité en reconnaissant ses fautes et ses erreurs face aux preuves de l’innocence de Mumia qu’elle n’a jamais voulu entendre, les écartant ou les détruisant au besoin. L’enjeu de l’année 2020 est entre ses mains et celles de la mobilisation portant l’exigence de sa libération.
>>> LA PEINE DE MORT AUX ETATS-UNIS
En 2019, l’application de la peine de mort est resté près de son plus bas niveau avec un total de 22 exécutions, 37 nouvelles condamnations à mort et 2.656 personnes dans les couloirs de la mort dans tout le pays. Malgré les progrès constatés - abolition et moratoire dans plusieurs Etats, opinion publique majoritaire contre la peine de mort à condition d’être remplacée par la prison à vie - il reste encore beaucoup de travail à faire pour les abolitionnistes américains. D’autant que le gouvernement Trump agit en sens inverse avec l’objectif de mettre un terme au moratoire de fait sans exécution depuis 16 ans au plan fédéral. Pour le moment la Cour suprême des Etats-Unis vient de rejeter sa demande.
Lire l’intégralité du rapport du Death Penalty Information Center en cliquant sur ce lien :
http://www.worldcoalition.org/fr/DPIC-Report-on-the-2019-Death-Penalty-Usage-in-the-US.html
>>> PENNSYLVANIE : LA MORT PAR INCARCÉRATION jusqu’en fin de VIE
En Pennsylvanie, plus de 5.400 prisonniers sont condamnées à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Aux États-Unis, une personne sur dix purgeant sa condamnation à vie est incarcérée en Pennsylvanie. L’État de Pennsylvanie est classé au deuxième rang fédéral derrière la Floride. Dès leurs condamnations ces personnes ont la quasi-certitude de mourir en prison. Très peu de recours se traduisent en effet par l’admissibilité à la libération conditionnelle ou à des changements de commutation de la peine. Lisez le reportage du journal THE APPEAL (pièce jointe) qui est allé à la rencontre de ces prisonniers âgés et handicapés dans une prison d’Etat en Pennsylvanie.
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Place de la Concorde Paris
Pour la libération de Mumia Abu-Jamal
MERCREDI 5 FEVRIER (18 heures) :
pour la libération de Mumia Abu-Jamal
rassemblement place de la Concorde à Paris
>>> Comme chaque premier mercredi du mois, le rassemblement aura lieu à proximité de l’ambassade des Etats-Unis (angle rue de Rivoli / jardin des Tuileries). Rappelons que depuis plus d’un an Mumia a obtenu un droit d’appel de sa condamnation et que sa défense a déposé à cet effet un mémoire en septembre dernier. De son côté, la justice de Pennsylvanie n’a toujours pas décidé devant quelle Cour et quand s’ouvrira le procès. Aurait-elle peur de la manifesation de la vérité en reconnaissant ses fautes et ses erreurs face aux preuves de l’innocence de Mumia qu’elle n’a jamais voulu entendre, les écartant ou les détruisant au besoin. L’enjeu de l’année 2020 est entre ses mains et celles de la mobilisation portant l’exigence de sa libération.
>>> LA PEINE DE MORT AUX ETATS-UNIS
En 2019, l’application de la peine de mort est resté près de son plus bas niveau avec un total de 22 exécutions, 37 nouvelles condamnations à mort et 2.656 personnes dans les couloirs de la mort dans tout le pays. Malgré les progrès constatés - abolition et moratoire dans plusieurs Etats, opinion publique majoritaire contre la peine de mort à condition d’être remplacée par la prison à vie - il reste encore beaucoup de travail à faire pour les abolitionnistes américains. D’autant que le gouvernement Trump agit en sens inverse avec l’objectif de mettre un terme au moratoire de fait sans exécution depuis 16 ans au plan fédéral. Pour le moment la Cour suprême des Etats-Unis vient de rejeter sa demande.
Lire l’intégralité du rapport du Death Penalty Information Center en cliquant sur ce lien :
http://www.worldcoalition.org/fr/DPIC-Report-on-the-2019-Death-Penalty-Usage-in-the-US.html
>>> PENNSYLVANIE : LA MORT PAR INCARCÉRATION jusqu’en fin de VIE
En Pennsylvanie, plus de 5.400 prisonniers sont condamnées à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Aux États-Unis, une personne sur dix purgeant sa condamnation à vie est incarcérée en Pennsylvanie. L’État de Pennsylvanie est classé au deuxième rang fédéral derrière la Floride. Dès leurs condamnations ces personnes ont la quasi-certitude de mourir en prison. Très peu de recours se traduisent en effet par l’admissibilité à la libération conditionnelle ou à des changements de commutation de la peine. Lisez le reportage du journal THE APPEAL (pièce jointe) qui est allé à la rencontre de ces prisonniers âgés et handicapés dans une prison d’Etat en Pennsylvanie.
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Place de la Concorde Paris
Pour la libération de Mumia Abu-Jamal
MERCREDI 5 FEVRIER (18 heures) :
pour la libération de Mumia Abu-Jamal
rassemblement place de la Concorde à Paris
>>> Comme chaque premier mercredi du mois, le rassemblement aura lieu à proximité de l’ambassade des Etats-Unis (angle rue de Rivoli / jardin des Tuileries). Rappelons que depuis plus d’un an Mumia a obtenu un droit d’appel de sa condamnation et que sa défense a déposé à cet effet un mémoire en septembre dernier. De son côté, la justice de Pennsylvanie n’a toujours pas décidé devant quelle Cour et quand s’ouvrira le procès. Aurait-elle peur de la manifesation de la vérité en reconnaissant ses fautes et ses erreurs face aux preuves de l’innocence de Mumia qu’elle n’a jamais voulu entendre, les écartant ou les détruisant au besoin. L’enjeu de l’année 2020 est entre ses mains et celles de la mobilisation portant l’exigence de sa libération.
>>> LA PEINE DE MORT AUX ETATS-UNIS
En 2019, l’application de la peine de mort est resté près de son plus bas niveau avec un total de 22 exécutions, 37 nouvelles condamnations à mort et 2.656 personnes dans les couloirs de la mort dans tout le pays. Malgré les progrès constatés - abolition et moratoire dans plusieurs Etats, opinion publique majoritaire contre la peine de mort à condition d’être remplacée par la prison à vie - il reste encore beaucoup de travail à faire pour les abolitionnistes américains. D’autant que le gouvernement Trump agit en sens inverse avec l’objectif de mettre un terme au moratoire de fait sans exécution depuis 16 ans au plan fédéral. Pour le moment la Cour suprême des Etats-Unis vient de rejeter sa demande.
Lire l’intégralité du rapport du Death Penalty Information Center en cliquant sur ce lien :
http://www.worldcoalition.org/fr/DPIC-Report-on-the-2019-Death-Penalty-Usage-in-the-US.html
>>> PENNSYLVANIE : LA MORT PAR INCARCÉRATION jusqu’en fin de VIE
En Pennsylvanie, plus de 5.400 prisonniers sont condamnées à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Aux États-Unis, une personne sur dix purgeant sa condamnation à vie est incarcérée en Pennsylvanie. L’État de Pennsylvanie est classé au deuxième rang fédéral derrière la Floride. Dès leurs condamnations ces personnes ont la quasi-certitude de mourir en prison. Très peu de recours se traduisent en effet par l’admissibilité à la libération conditionnelle ou à des changements de commutation de la peine. Lisez le reportage du journal THE APPEAL (pièce jointe) qui est allé à la rencontre de ces prisonniers âgés et handicapés dans une prison d’Etat en Pennsylvanie.
- mars
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Devant la représentation de la Commission Européenne
288 Boulevard Saint-Germain ParisVIOLATIONS DES DROITS HUMAINS À LA FRONTIÈRES GRECO-TURQUE : L’UNION EUROPÉENNE COMPLICE !
PARIS CE LUNDI 2 MARS À 18 HEURES DEVANT LA
REPRÉSENTATION DE LA COMMISSION EUROPÉENNE, 288, BOULEVARD
SAINT-GERMAIN, MÉTRO ASSEMBLÉE NATIONALE -
Place Colonel Fabien
REPORTE ! En solidarité avec le combat du peuple syrien pour la dignité, la liberté et la démocratie
Samedi 14 mars 2020, à 15 heures, à Paris : départ Place Colonel Fabien jusque Place de la Nation.
Cette marche se déroule après 9 ans de guerre, de bombardements, de tortures, de disparitions forcées, d’exils, pour manifester notre solidarité avec la population de Syrie. Même si une trève a été signée le 5 mars entre Poutine et Erdogan, une catastrophe humanitaire est attendue.
La Turquie et l’Union Européenne sont responsables de ce qui se passe à la frontière gréco-turque, mais il ne faut pas oublier que la plus grande partie des réfugiés qui s’y trouvent sont des Syriens, qui n’ont quitté leur pays que parce qu’ils y ont été forcés par la guerre. Les derniers bombardements syriens et russes sur Idlib visaient particulièrement les écoles et les hôpitaux.
Soyons un peu plus nombreux que d’habitude Place du colonel Fabien à 15h
le 14 mars ! -
SEMAINE D’EDUCATION ET D’ACTIONS CONTRE LE RACISME ET L’ANTISÉMITISME
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Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale
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La Bourse du Travail
3 rue du Château d’Eau 75010 ParisL’ONU ET LA LUTTE CONTRE LE RACISME 70 ANS D’HISTOIRE
En 1945, après les monstruosités dues au racisme, un engagement est apparu nécessaire pour libérer l’humanité de cette idéologie. La nouvelle Organisation des Nations Unies, l’ONU, a-t-elle été le cadre et l’outil de cette lutte à l’échelle mondiale, quelles ont été ses avancées, ses insuffisances ?
Le MRAP vous invite à une réflexion sur cette question avec
Chloé MAUREL
Agrégée et docteur en histoire, spécialiste de l’histoire de l’Organisation des Nations Unies
Wiktor STOCZKOWSKI
Chercheur au Collège de France et à L’École des hautes études en sciences sociales