Aujourd’hui Azzédine Taïbi reçoit des messages et des appels téléphoniques avec des insultes comme “sale bougnoule, sale arabe, retourne dans ton pays”, ainsi que des menaces de mort. Pour le MRAP, cela est intolérable.
Azzédine Taïbi précise « à travers mes prises de position, je ne fais que défendre la démocratie, nos institutions et les valeurs de la République » et précise que « les violences policières n’incriminent pas l’ensemble des policiers ».
Le MRAP, comme la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International ou le Défenseur des droits, a lui aussi à de nombreuses reprises dénoncé les violences policières où qu’elles se produisent, en France, aux États-Unis ou ailleurs sans pour autant que cela incrimine l’ensemble des policiers.
Paris, le 9 septembre 2020