Dans l’esprit de ceux qui ont conçu la loi de 1905, les croyants ne devaient pas nuire à la liberté des non-croyants et les non-croyants à celle des croyants. Aristide Briand affirmait aussi à l’époque que l’État n’avait pas à se soucier de l’éventuelle signification religieuse d’un (…)