MRAP Nantes - Syndicats et associations de Loire Atlantique : Marine Le Pen MENT quand elle se dit pour la retraite à 60 ans !
Présentée comme opposante au recul de l’âge de départ en retraite, ses revirements et son programme économique conformes à la doxa libérale prouvent le contraire.
En 2022, Marine Le Pen a retiré la retraite à 60 ans de son programme.
Même en restant à 62 ans, son système ne tiendrait pas longtemps, car il assèche le principe de cotisation sociale, notamment en exonérant les patrons. Cela aboutit à une baisse des « prestations sociales », dans la droite ligne de la politique menée par Emmanuel Macron.
Source : Les économistes atterrés
A l’Assemblée, les députés RN ont voté :
Contre l’augmentation du SMIC
Contre l’indexation des salaires sur l’inflation
Contre le blocage des prix des produits de première nécessité
Contre une taxe sur les revenus supérieurs à 3 millions d’euros
Contre la hausse des moyens pour lutter contre la fraude fiscale
L’EXTRÊME DROITE NE SERA JAMAIS AUX CÔTÉS DES TRAVAILLEUR·EUSES !
L’EXTRÊME-DROITE, C’EST L’IMPOSTURE SOCIALE !
Les organisations syndicales (CGT, FSU, Solidaires et SAF) et les associations (LDH, MRAP, ATTAC, AFPS, FAL) de Loire-Atlantique dénoncent les propos mensongers des représentant·es du RN qui prétendent être à aux côtés des travailleur·euses dans le mouvement social contre le projet de retraites du gouvernement Borne.
Depuis toujours, les extrêmes droites en général et le RN en particulier sont hostiles aux salarié·es et à leurs représentant·es syndicaux·les.
À l’Assemblée Nationale, les élu·es du RN ont voté contre le partage des richesses et les propositions visant à taxer les hauts revenus, et les produits de luxe, à augmenter le SMIC, à indexer les salaires sur l’inflation ou à valoriser les petites retraites… La liste est longue des votes du RN contre le progrès social et le renforcement des conquis sociaux.
Les extrêmes droites ne seront jamais à aux côtés des travailleur·euses, elles profitent de la misère, elles profitent de la précarité afin d’apparaître comme légitime et faire croire qu’elles apporteraient des réponses en accédant au pouvoir.
Les organisations syndicales (CGT, FSU, Solidaires et SAF) et les associations (LDH, MRAP, ATTAC, AFPS, FAL) de Loire-Atlantique continueront à s’opposer aux idées des extrêmes droites et à dénoncer les propos trompeurs de leurs dirigeant·es.