Documentaire Pas en mon nom ! Débat avec Pierre Mairat, co-président du MRAP

Mon film documentaire Pas en mon nom ! échappe au couvre-feu et va sortir en salles à partir du 21 octobre au cinéma St André des Arts de Paris à 13H. Débat à 14 h 30.

Vous trouverez ci-joint une première liste de dates de projections à Paris comme en Province.

Résumé du film : Très souvent, en France, lorsque les conflits reprennent au Proche-Orient, les personnes d’origine juive sont appelées à soutenir inconditionnellement l’Etat d’Israël. Pourtant, un certain nombre d’entre elles, comme moi, refusent de s’enfermer dans cette assignation communautaire, tout en craignant le développement de l’antisémitisme. C’est pourquoi, je suis allé à leur rencontre...

Pas en mon nom ! Bande annonce (3minutes)

Ce film est soutenu par la Ligue des Droits de l’Homme (LDH), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), le Mouvement de la Paix, l’Union des juifs pour la résistance et l’entraide (UJRE), Une autre voix juive (UAVJ), l’Union juive française pour la paix (UJFP) et des fédérations de l’association France-Palestine Solidarité (AFPS) …

21 octobre au 2 novembre (sauf le 27 octobre) Paris. Projection de Pas en mon nom au cinéma St André des Arts, 30 rue Saint-André-des-Arts Paris 6ème, tous les jours à 13H. Débat à 14H30

Le 21 octobre Débat avec Bernard Bloch (personnage du film et metteur en scène)

22 octobre Débat avec Rony Brauman (personnage du film et ancien président de Médecins sans frontière)

23 octobre Débat avec Gilles Manceron (Ligue des Droits de l’Homme- LDH et collectif Trop c’est trop !). Projection soutenue par la section 14-6-7 de la LDH Paris

24 octobre Débat avec Emmeline Fagot (personnage du film et l’Union juive française pour la paix-UJFP)

25 octobre Débat avec Karen Akoka (personnage du film et sociologue)

26 octobre Débat avec Andrée Benssousan (personnage du film et historienne )

28 octobre Débat avec Pierre Mairat (Co-président du MRAP)

29 octobre Débat avec un responsable du Mouvement de la Paix)

30 octobre Débat avec Pascal Lederer (Une Autre Voix Juive)

31 octobre Débat avec Bernard Ravenel (Président d’honneur de l’AFPS et collectif Trop c’est trop !)

1er novembre Séance spéciale et débat autour de la fabrication d’un documentaire avec l’association CoopAddoc)

2 novembre Débat avec Dominique Vidal (Historien et journaliste Monde Diplomatique)

23 octobre St Malo (35) Projection au cinéma "Le Vauban"-la grande Passerelle Esplanade 16 Rue Théodore Monod. Projection à 20H soutenue par le Mouvement de la Paix (comité de la région malouine), l’ARAC (St-Malo), l’AFPS, et la LDH.

.

3 novembre Frontignan (34) au Cinémistral, avenue Frédéric Mistral. Projection du film à 20H avec l’AFPS 34

8 novembre à Thônes (74) Projection à 18H15 au cinéma Edelweiss Passage des Addebouts,

9 novembre Annecy (74) Au cinéma La Turbine 17 avenue de la république, 74960 Annecy Cran-Gevrier Projection du film à 20H30 soutenue par l’AFPS 74

10 novembre Paris. Nouvelle projection à 13H du film au St André des Arts 30 rue Saint-André-des-Arts. Débat à 14H30 avec Claude Sarcey (Membre du Bureau de l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide UJRE)

16 novembre Fontenay-sous-Bois (94) Projection-débat au cinéma Kosmos à 18H, 243 ter avenue de la République dans le cadre du Festival des Solidarités avec le Comité Palestine 94 Nord (AFPS)

17 novembre Paris. Projection au cinéma St André des Arts 30 rue Saint-André-des-Arts du film à 13H. Débat avec Bernard Bloch (personnage du film) à 14H30.

21 novembre Bédarieux (34) Projection du film à 21h au Cinéma Jean-Claude Carrière, Avenue Justes Parmi les Nations,

23 novembre Alès (30) Projection à 19H dans le cadre de la semaine cinéma de l’Automne palestinien au Cinéplanet Place des Martyrs de la Résistance

26 novembre Toulouse (31) (sous réserve) au cinéma Utopia Borderouge 59, avenue Maurice Bourges-Maunoury

3 décembre Dijon au cinéma Eldorado, 21 Rue Alfred de Musset, projection du film avec les associations AFPS 21 et Collectif Eldo

5 décembre Paris. (sous réserve) Projection au cinéma St André des Arts 30 rue Saint-André-des-Arts à 13H. Débat avec Pascal Lederer à 20H30 avec les sections du PCF de Paris

A noter aussi que le 17 octobre à Perpignan, au cinéma le Castillet, 1, Boulevard Wilson, il y aura à 20H la projection d’un ancien film 17 octobre 1961. Dissimulation d’un massacre organisée par le Collectif pour une histoire franco-algérienne non falsifiée. Résumé du film En octobre 1961, le préfet de police de Paris, Maurice Papon, interdit à tous les Français musulmans d’Algérie de circuler entre 20H30 et 5H30. Pour riposter à ce couvre-feu basé sur une discrimination raciale, le FLN demande à tous les Algériens de participer à des manifestations le 17 octobre. Ce jour-là, la police parisienne ouvre le feu et jette des Algériens à la Seine. On parle de 200 morts. Ce film, cherche à comprendre pourquoi et comment ce massacre a été occultée de notre mémoire collective pendant près de 40 ans.

Et d’un autre film Les Balles du 14 juillet 1953 le 4 décembre à Ganges (30) au cinéma l’arc en ciel 7 Rue Emile Planchon, à 20H. Résumé : Le 14 juillet 1953, au moment de la dislocation d’une manifestation en l’honneur de la Révolution Française, la police parisienne a chargé un cortège de manifestants algériens. Sept personnes (6 algériens et un français) ont été tuées et une centaine de manifestants ont été blessés dont plus de quarante par balles. Un vrai carnage. Cette histoire est quasiment inconnue. Ce film, est l’histoire d’une longue enquête contre l’amnésie.

Et en attendant les futures projections de mon tout dernier film L’important c’est le chemin ! sur le lycée expérimental de Saint-Nazaire. Mais bo, tout semble un peu en arrêt dans la profession…

Résumé. On m’avait parlé du lycée expérimental de Saint-Nazaire comme d’un lieu incroyable, différent où il n’y avait pas de notes, pas de conseil de discipline… où professeurs et élèves font tout, ensemble : les cours, le ménage, les repas de la cantine et même le secrétariat… Bref, d’un lieu utopique, irréaliste…et pourtant, il existe au sein de l’Education nationale depuis plus de 35 ans.