Il avait notamment déclaré « Les musulmans ont leur Code civil, c’est le Coran. Ils vivent entre eux, dans les périphéries. Les français ont été obligés de s’en aller ». « Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes vivent ici, en France, et ne veulent pas vivre, à la française ».
Le MRAP qui avait signalé ses propos et qui s’était évidemment constitué partie civile dans cette affaire ne peut que se réjouir de cette décision qui vient rappeler que la stigmatisation d’un groupe de personnes à raison de l’appartenance à une religion, ici les musulmans, est pénalement condamnable.
Paris, le 18 novembre 2016